jueves, 4 de septiembre de 2014

Journal Intime

Paysage Romantique




Nom du peintre: Bouhot, Etienne
Titre de l'oeuvreLe Jardin et le palais des Tuileries, vus du quai d'Orsay (depuis le jardin de l'ancien hôtel de Lépine) (1er et 7ème arrondissements)
date de réalisation: 1813, 1er quart 19e siecle
Format de la toile: H. 54 ; L. 92

Jeudi 25 Novembre 1996


Oh paris! Cette ville romantique, culturelle, exotique! La plus belle du monde. Je m'en rappelle toujours de ce petit amour d'été qui m'a arraché le cœur. J'étais en vacances à Paris avec mes parents. Je voulais découvrir la ville mais les visites touristiques m'ennuyaient. Je passais mes journées à lire dans les beaux jardins de Paris. Tous les jours je découvrais un autre mais mon préférée était celui qu'on voit sur cette photo, le Jardin des Tuileries. C'est là où j'ai connus mon amour parisien. J'étais en train de lire une troisième fois mon livre quand soudain un jeune homme s'assit à côté de moi. Il était parfait... Son parfum et sa gentillesse me détruisaient. On parlait pendant des heures et des heures. On se baladait dans les coins les plus beaux de Paris. J'avais tombé complètement amoureuse de lui au point de ne plus dormir le soir. Je voulais immortaliser notre relation et tous nos moments ensembles. Son amour me dévorait. Tout était parfait, jusqu'a que la fin de l'été arriva. Je devais rentrer chez moi. Mon monde s'évanouissait. Je me demandais qu'est-ce que j'allais faire son lui. Il était aussi mon meilleur ami. Je ne pouvais pas le laisser. Je voulais rester avec lui, et l’aimer jusqu’à l’infinité. Je voulais rester et commencer une nouvelle vie avec lui, oublier tous les problèmes qui m’attendaient chez moi. Mais il y avait un problème critique : mes parents. Ils n’étaient pas d’accord avec ce qu’on avait créé dans ce fabuleux été... La nuit précédente du retour je pleurais constamment. Ce thème indigérable pour mes parents de rester à Paris. Je me rappelle encore les mots qu’ils m’ont dits et criés,  je me rappelle comment mon cœur se détruisait en écoutant les cris. Je devais rentrer et m’oublier de lui.  



Mara Netir








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